L’origine des Kaomojis

Les émoticônes sont apparues en 1972. À cette époque, il ne s’agissait que des petits visages symbolisés par des caractères d’imprimerie. Selon certaines sources, elles ont vu le jour lorsque le chercheur Scott E. Fahlman a envoyé des caractères, à la fin d’un message, pour faire comprendre l’émotion qu’il souhaitait transmettre. Celui-ci a représenté son idée par les caractères t :-). Par la suite, la tendance s’est peu à peu développée, en même temps que le développement de la technologie, et c’est là que le fameux kaomoji est né. Les émoticônes japonaises sont inspirées du message du chercheur, mais aussi des personnages de manga (animé japonais). Elles sont représentées par des contractions et des icônes, mais surtout par les caractères que l’on trouve sur le clavier d’un ordinateur et d’un téléphone portable. Avec l’évolution de la technologie, certains fabricants ont décidé de les réaliser à partir d’un code informatique, nommé point code. D’autres ont préféré personnaliser leur produit en mettant directement à disposition des consommateurs les Kaomojis. Sur smartphone, par exemple, les émoticônes japonaises sont directement intégrées au clavier, comme le cas des smileys. Il existe également des applications qui permettent d’accéder facilement au kawaii emojis.

Liste des émoticônes japonaises

Des centaines de kaomojis sont aujourd’hui à disposition des utilisateurs. Voici quelques-uns d’entre eux :

Les émotions joyeuses

Les émoticônes joyeuses et souriantes sont les plus connues. Elles reprennent les caractères spéciaux comme les cœurs et les fleurs. Ils sont considérés comme Kawai (mignon). Si vous voulez créer des émoticônes japonaises joyeuses, utilisez les caractères : ^, ￣, ‘ et `. En voici quelques exemples :

(＝⌒▽⌒＝)
(❁´◡`❁)
˙˚ʚ(´◡`)ɞ˚˙
(*꧆▽꧆*)
♡ლ(´͈◡ુ`͈ლ)
(❛◡˂̵ ̑̑✧)
（*＾＾*)
₍꒢ ̣̮꒢₎
(｡≍ฺ‿≍)⚟ʜᴇʜ
(⭒ ์ ⲳ ์ )
⌒°ʚ(ෆ❛ั ᴗ ❛ัʃƪ)ɞ♡°⌒
(≡^∇^≡)
(❛⺲❛⭑)
ヽ(▽ ｀)ノﾜｰｲ♪ヽ(´▽｀)ノﾜｰｲ♪ヽ( ´▽)ノ
｡*⭒⑅ ˙ྌ˙⑅⭒*｡
＼(((￣(￣(￣▽￣)￣)￣)))／ﾔｯﾀｰ!
＼(▽￣＼(￣▽￣)／￣▽)／ﾔｯﾀｧｰ!
＼(＠＾０＾＠)/やったぁ♪
(✩ ์ ᴗ ์✩)
＼(*T▽T*)／ﾜｰｲ♪
＼（＾ ＾）／ バンザーイ
(ෆ˙ᵕ˙ෆ)♡

Les émoticônes négatives

Bien qu’elles soient moins utilisées, elles sont appréciées de certains utilisateurs, surtout pour évoquer leur tristesse, colère, douleur ou insatisfaction.

– Les émojis d’insatisfaction
(＃＞＜)
(＞﹏＜)
(；⌣̀_⌣́)
(￣︿￣)
(〃＞＿＜;〃)
(￣ヘ￣)

– Les émojis de tristesse
(ノ_<。)
(╯︵╰,)
(ノ_<、) (>_<) ｡ﾟ･ (>﹏<) ･ﾟ｡ – Les émojis de douleur (×_×) (×﹏×) (＋_＋) (☆_@) (×_×)⌒☆ – Les émojis de colère Σ(▼□▼メ) ヾ(`ヘ´)ﾉﾞ ((╬◣﹏◢)) – Les émojis de peur (;;;*_*) ＼(〇_ｏ)／ 〜(＞＜)〜 ＼(º □ º l|l)/ {{ (>_<) }}
(((×)))

Les émojis représentant l’attitude neutre

Comme nous pouvons le constater sur les réseaux sociaux, de nombreux smileys et émojis représentent une attitude totalement neutre. Ils sont souvent caractérisés par des lignes horizontales et des parenthèses. En voici quelques exemples :

(￣ω￣;)
╮(︶▽︶)╭
┐( ˘_˘ )┌
(•ิ_•ิ)?
(￢_￢)
(→_→)
(¬‿¬ )
(↼_↼)
ヽ(ー_ー )ノ

Comment faire et utiliser des kaomojis ?

Même si les kaomojis sont directement accessibles sur certains sites, applications et claviers, ils ne sont pas disponibles sur les ordinateurs. Si vous souhaitez faire des émoticônes sur Windows 10, ouvrez le clavier émoji de Windows 10 en appuyant sur la touche Windows +. La liste des émoticônes disponibles s’ouvrira.

Pour placer des kaomojis sur un document ouvert dans un éditeur de texte, placez le curseur à l’endroit où vous souhaitez placer les émojis. Ensuite, appuyez sur la touche Windows + et cliquez sur le kaomoji souhaité. Pour information, cette technique est dédiée à certaines suites bureautiques comme Word et NotePad. Et bien évidemment, elle fonctionne sur les logiciels de discussion comme Discord et Skype (bien que ces derniers proposent déjà leurs propres smileys et émoticônes).

Sur Linkedin (réseau social professionnel), de nombreux utilisateurs commencent à utiliser des kaomojis. Ces derniers permettent de créer des contenus plus attractifs. En parsemant vos posts d’émoticônes et de smileys, vous véhiculez une émotion à vos publications. Vous donnez plus du sens à ce que vous disiez. Selon des recherches, la présence des kaomojis sur une publication sur Linkedin augmente plus de 50 % la visibilité de celle-ci.

Sur Linkedin, les émojis sont plus utilisés que les émoticônes et les smileys. À savoir qu’il existe une différence entre ces trois petites représentations graphiques :

– Les émoticônes japonaises (kaomojis) : sont des représentations graphiques stylisées. Elles se composent de différents caractères pour former une petite image évoquant une émotion et ressemblant aux animés japonais. Exemple : (＝⌒▽⌒＝) est une émoticône représentant la joie.
– Les émojis, signifiant image et lettre, sont des petites images d’objets, de personnes ou d’animaux.
– Les smileys sont presque similaires aux kaomojis. La différence est qu’ils ne requièrent que l’usage de certains caractères comme :, ) – : ( ^ /

Obtenir un diplôme

Pour beaucoup, obtenir un diplôme figure en haut de la liste des choses qui motivent les apprenants. Cela permet entre autres de compléter le curriculum vitae. À partir de la quarantaine, bon nombre d’employés ont déjà occupé des postes à responsabilité. En obtenant un master par exemple, les collaborateurs espèrent recevoir davantage de reconnaissance de ses pairs.

Faire une mise à jour de vos compétences

Dans la plupart des cas, il est toujours indispensable de se former pour obtenir une compétence précise. C’est pourquoi une formation professionnelle se présente comme une solution à cela. Avec l’évolution incessante de la technologie, se former devient alors impératif pour mettre à jour ses compétences.

Se réorienter avec une formation professionnelle

Au-delà de la notion d’évolution, la formation professionnelle rime également avec la réorientation. C’est après des années d’exercices que certains professionnels constatent qu’il leur est difficile d’évoluer dans leur secteur d’activité actuel. Ainsi, ils décident de se tourner vers un autre métier en passant par une formation professionnelle.

Se former pour changer de métier

Il n’est pas rare de trouver des salariés qui prennent la décision de suivre une formation professionnelle pour changer de profession ou d’entreprise. Une formation peut aussi être une opportunité pour évoluer dans le monde du travail. Pour certains travailleurs, le plan de restructuration adopté par leurs entreprises leur a permis de suivre une formation et de postuler auprès des autres groupes.

Suivre une formation pour monter en grade

Certains salariés choisissent de suivre une formation dans l’espoir d’obtenir d’une promotion interne. Ce sont surtout les travailleurs ayant la tranche d’âge 30-45 ans qui décident souvent de se former. Ainsi, un cursus d’étude sert de levier pour accéder à des postes à responsabilité. La formation a également pour objectif d’avoir une hausse de la rémunération.

Bonne et mauvaise à la fois

En effet, dans les métropoles de plus de 500 000 habitants, il a été constaté que le commerce est en excellente santé. De leur côté, les villes comptant entre 200 et 500 000, le commerce ne se porte bien que dans certaines rues très fréquentées, ce qui pénalise un tant soit peu les commerces de bouche. Et enfin, pour les petites villes de moins de 200 000 personnes, le succès des commerces ne dépend en grande partie qu’à l’afflux des touristes. Ce sont uniquement les commerçants de très grande qualité qui s’en sortent bien.

Pour quelles raisons certains commerces dans certaines villes ne marchent pas ?

L’un des ennemis jurés des commerces physiques aujourd’hui, c’est le e-commerce. Effectivement, la vente en ligne a énormément fait baisser les chiffres d’affaires de beaucoup de centres commerciaux et d’un grand nombre de magasins. Les consommateurs sont heureux de ne plus avoir à se déplacer pour choisir les articles et les produits dont ils ont besoin. Il leur suffit de quelques clics, de payer en ligne et ils attendent la livraison. Les «vrais » magasins, de leur côté, sont obligés de payer un loyer, parfois très élevé, et des charges telles que les salaires des vendeurs, l’électricité etc. Mais d’autres raisons expliquent aussi la mauvaise santé de certains commerces. Dans certains cas, on peut parler d’insuffisance de parking qui décourage souvent les clients, parfois un accès difficile vers certains magasins, ou une superficie de boutique qui ne soit pas adaptée etc.